MAINGON Marcel, Victor, Gabriel
Né le 4 juin 1918 à Boulogne-Billancourt (Seine), blessé mortellement et mort à l’hôpital le 17 septembre 1944 des suites de ses blessures à Nancy (Meurthe-et-Moselle) ; tourneur ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Plaque rue Saint-Catherine, Nancy (M.et-M.)
Photo : Mémorial GenWeb, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Marcel Maingon était le fils d’Albert Georges Maingon, ébéniste et de Marie Marguerite Vénot. Il était célibataire et exerçait le métier de tourneur. Il était domicilié 67 rue du Montet à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
Il entra dans la Résistance pour participer aux combats de la Libération en s’engageant aux FFI du secteur de Nancy et Banlieue, où ses services furent homologués du 1er au 16 septembre 1944.
Il fut tué au combat par éclats d’obus selon Mémoire des Hommes ou tué dans les combats locaux selon Mémorial Genweb. Il fut probablement grièvement blessé lors de ces combats et décéda le 17 septembre 1944 à 16h15 à l’hôpital central de Nancy, 29 avenue de Strasbourg de la suite de ses blessures.
L’acte de décès fut dressé le 18 septembre 1944 sur la déclaration de Paul Carlin, 65 ans, domicilié à Laxou (Meurthe-et-Moselle).
Les obsèques furent célébrées le 21 septembre à 10 heures dans la chapelle de l’hôpital militaire, en même temps que celles de Charles Esselin, Gilbert Lamoise, André Mangeon, Jacob Pedé, Léon Stutzmann et un inconnu sommairement exécuté.
Il est inhumé au cimetière de Préville, à Nancy.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par décision de M. le Secrétaire général aux Anciens combattants en date du 17 mai 1945 et fut homologué au grade de maréchal des logis des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) (mention complémentaire à l’acte de décès transcrite le 7 août 1957).
Son nom figure sur une plaque apposée sur la façade de la caserne Thiry, rue Sainte-Catherine à Nancy et sur le Registre des victimes civiles 1914-1918 et 1939-1945 au cimetière du Sud, à Nancy.
Il entra dans la Résistance pour participer aux combats de la Libération en s’engageant aux FFI du secteur de Nancy et Banlieue, où ses services furent homologués du 1er au 16 septembre 1944.
Il fut tué au combat par éclats d’obus selon Mémoire des Hommes ou tué dans les combats locaux selon Mémorial Genweb. Il fut probablement grièvement blessé lors de ces combats et décéda le 17 septembre 1944 à 16h15 à l’hôpital central de Nancy, 29 avenue de Strasbourg de la suite de ses blessures.
L’acte de décès fut dressé le 18 septembre 1944 sur la déclaration de Paul Carlin, 65 ans, domicilié à Laxou (Meurthe-et-Moselle).
Les obsèques furent célébrées le 21 septembre à 10 heures dans la chapelle de l’hôpital militaire, en même temps que celles de Charles Esselin, Gilbert Lamoise, André Mangeon, Jacob Pedé, Léon Stutzmann et un inconnu sommairement exécuté.
Il est inhumé au cimetière de Préville, à Nancy.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par décision de M. le Secrétaire général aux Anciens combattants en date du 17 mai 1945 et fut homologué au grade de maréchal des logis des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) (mention complémentaire à l’acte de décès transcrite le 7 août 1957).
Son nom figure sur une plaque apposée sur la façade de la caserne Thiry, rue Sainte-Catherine à Nancy et sur le Registre des victimes civiles 1914-1918 et 1939-1945 au cimetière du Sud, à Nancy.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 80375 (nc) et GR 16 P 385173 (nc).— La République de l’Est libéré, 22 septembre 1944, p. 1., Gallica.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— Archives mun. Nancy 4 E 424 acte de décès n° 1720.
Jean-Louis Ponnavoy
