VARLET Georges, Henri, Edmond
Né le 16 juin 1901 à Le Favril (Eure-et-Loir), exécuté sommairement le 17 août 1944 à Chartres (Eure-et-Loir) ; chauffeur ; résistant des Francs-tireurs et partisans français (FTPF) et des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Georges Varlet était le fils d’Émile Jean Baptiste Varlet, ouvrier bonnetier, domicilié à Rosières (Somme) et de Marie Léa Inversin, son épouse, journalière. Il était veuf de Juliette Germaine Émilienne Chartier avec laquelle il s’était marié le 17 novembre 1928 à Moussonvilliers (Orne) et domicilié 26 rue François Foreau, à Lucé (Eure-et-Loir). Il exerçait le métier de chauffeur.
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du Groupe de Lucé, secteur de Chartres.
La libération de Chartres commença le 15 août 1944 par l’arrivée des premiers éléments de l’armée américaine. Le 16 août vers 10h30 la 7e division d’infanterie américaine du major General Lindsey McDonald Silvester, fit son entrée dans la ville. Les combats se poursuivirent le 17 août et Georges Varlet fut blessé et achevé par l’ennemi à quinze heures au lieu-dit "Les Trois Ponts", à Chartres.
La ville fut entièrement libérée le 19 août 1944.
L’acte de décès fut dressé le 19 août sur la déclaration de Jehan Maintrieu, 61 ans, notaire honoraire à Chartres, 9 rue Noël Parfait.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur avis du Secrétariat général des Anciens combattants du 28 juin 1945 et fut homologué au grade de sous-lieutenant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative 1939-1945, à Lucé, sur la plaque commémorative de l’Esplanade de la Résistance et la plaque commémorative de la rue des Perriers, à Chartres (Eure-et-Loir).
Voir monographie Chartres (Eure-et-Loir) combats de la Libération 15 au 18 août 1944
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du Groupe de Lucé, secteur de Chartres.
La libération de Chartres commença le 15 août 1944 par l’arrivée des premiers éléments de l’armée américaine. Le 16 août vers 10h30 la 7e division d’infanterie américaine du major General Lindsey McDonald Silvester, fit son entrée dans la ville. Les combats se poursuivirent le 17 août et Georges Varlet fut blessé et achevé par l’ennemi à quinze heures au lieu-dit "Les Trois Ponts", à Chartres.
La ville fut entièrement libérée le 19 août 1944.
L’acte de décès fut dressé le 19 août sur la déclaration de Jehan Maintrieu, 61 ans, notaire honoraire à Chartres, 9 rue Noël Parfait.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur avis du Secrétariat général des Anciens combattants du 28 juin 1945 et fut homologué au grade de sous-lieutenant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative 1939-1945, à Lucé, sur la plaque commémorative de l’Esplanade de la Résistance et la plaque commémorative de la rue des Perriers, à Chartres (Eure-et-Loir).
Voir monographie Chartres (Eure-et-Loir) combats de la Libération 15 au 18 août 1944
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 167349 (nc) et SHD, Vincennes, GR 16 P 586267 et SHD, Vincennes GR 19 P 28/1.— Commandant Grima Et Chartres fut libérée...., GR 19 P 28/1. — Ville de Chartres La libération de Chartres (août 1944).—État civil (acte de décès n° 595).
Jean-Louis Ponnavoy
