HARDY Joseph, Jean
Né le 18 avril 1912 à Combourg (Ille-et-Vilaine), mort en mission le 19 août 1944 à Montreuil (Eure-et-Loir) ; employé SNCF ; résistant.
Joseph Hardy était le fils de Jean Baptiste Marie Hardy, âgé de 41 ans et de Marie Rose Joubert, âgée de 40 ans, tous deux cultivateurs à Tragonoux-en-Combourg (Ille-et-Vilaine). Il se maria le 29 mai 1934 à Bonnemain (Ille-et-Vilaine) avec Alphonsine Marie Lebret et il en eut six enfants.
Il entra au chemin de fer comme cantonnier. En 1944, il était cantonnier principal au service de la Voie et Bâtiments SNCF aux Osmeaux-Abondant (Eure-et-Loir). Agent non mobilisé, il entra dans un groupement de Résistance. Le 19 août 1944, en rentrant d’une opération de liaison avec les FFI, il fut tué par éclats d’obus au cours d’un combat entre Américains et Allemands qui se déroulait aux abords du P.N. 10 des Osmeaux-Abondant.
Le décès fut déclaré à la mairie de Montreuil (Eure-et-Loir).
Il obtint « Mort pour la France » et son nom figure sur la plaque commémorative 1939-1945 en gare de Paris-Montparnasse, à Paris XVe arr. (Seine, aujourd’hui Paris).
Il ne figure pas dans le Mémorial 1940-1945 des Cheminots victimes de la répression.
Il entra au chemin de fer comme cantonnier. En 1944, il était cantonnier principal au service de la Voie et Bâtiments SNCF aux Osmeaux-Abondant (Eure-et-Loir). Agent non mobilisé, il entra dans un groupement de Résistance. Le 19 août 1944, en rentrant d’une opération de liaison avec les FFI, il fut tué par éclats d’obus au cours d’un combat entre Américains et Allemands qui se déroulait aux abords du P.N. 10 des Osmeaux-Abondant.
Le décès fut déclaré à la mairie de Montreuil (Eure-et-Loir).
Il obtint « Mort pour la France » et son nom figure sur la plaque commémorative 1939-1945 en gare de Paris-Montparnasse, à Paris XVe arr. (Seine, aujourd’hui Paris).
Il ne figure pas dans le Mémorial 1940-1945 des Cheminots victimes de la répression.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, Caen, Cote AC 21 P 353664 (nc).— Mémoire des Hommes (victimes civiles).— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
