ARGAUD Marcel, Léon
Né le 9 janvier 1909 à Saint-Julien-Labrousse (Ardèche), massacré le 31 août 1944 au Pouzin [Le] (Ardèche) ; cultivateur ; victime civile.
Tombe de Marcel ARGAUD
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Marcel, Léon Argaud était le fils de François, Rémi Argaud et de Marguerite, Léonie Durand, son épouse.
Célibataire, il habitait au hameau de Payre, sur la commune du Pouzin (Ardèche) et était cultivateur.
Son corps fut découvert début septembre 1944, au hameau de Payre, en même temps de celui d’Albert Pizon. Ils portaient des traces de balles dans le dos et à la tête.
L’acte de décès, rédigé le 2 septembre 1944, fixa la mort au 31 août 1944 à 15 heures, bien qu’aucun témoin n’ait été présent, la plus grande partie de la population de la commune ayant fui à l’arrivée des troupes allemandes en retraite. Les témoignages recueillis pour le Mémorial de l’oppression attribuent ces meurtres à ces dernières.
Cependant, la plaque qui se trouve sur sa tombe au cimetière communal du Pouzin indique qu’il mourut le 25 août 1944, fusillé par les Allemands.
Marcel Argaud obtint la mention « Mort pour la France » par décision du Ministre des anciens combattants et victimes de guerre datée du 27 décembre 1948.
Son nom ne figure sur aucun monument.
Célibataire, il habitait au hameau de Payre, sur la commune du Pouzin (Ardèche) et était cultivateur.
Son corps fut découvert début septembre 1944, au hameau de Payre, en même temps de celui d’Albert Pizon. Ils portaient des traces de balles dans le dos et à la tête.
L’acte de décès, rédigé le 2 septembre 1944, fixa la mort au 31 août 1944 à 15 heures, bien qu’aucun témoin n’ait été présent, la plus grande partie de la population de la commune ayant fui à l’arrivée des troupes allemandes en retraite. Les témoignages recueillis pour le Mémorial de l’oppression attribuent ces meurtres à ces dernières.
Cependant, la plaque qui se trouve sur sa tombe au cimetière communal du Pouzin indique qu’il mourut le 25 août 1944, fusillé par les Allemands.
Marcel Argaud obtint la mention « Mort pour la France » par décision du Ministre des anciens combattants et victimes de guerre datée du 27 décembre 1948.
Son nom ne figure sur aucun monument.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 49459 (nc). — Arch. Dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 187. — Mémoire des hommes. — Geneanet. — État civil (Décès).
Jean-Luc Marquer
