PETER René, Pierre
Né le 12 janvier 1926 à Vouziers, (Ardennes), exécuté sommairement le 17 août 1944 à Buzet, aujourd’hui Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne) ; résistant homologué forces françaises de l’intérieur et interné résistant (DIR).
René PETER
Gérard DOUCET photographie sous licence d’usage
René Peter s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs de la 3402e compagnie de FTPF de Haute-Garonne.
Ses services sont homologués à partir du 16 janvier 1944.
Il fut arrêté le 28 juin 1944, alors qu’avec quelques camarades, il venait chercher des munitions dans un dépôt clandestin 22 avenue Joseph Lebrix à Toulouse (Haute-Garonne). Il fut emprisonné sous le nom de Verdier à la prison Saint-Michel de Toulouse dans le quartier 2, cellule 14.
Le 17 août 1944, il fut extrait de la prison avec 53 autres prisonniers et ils furent tous dirigés par la Milice vers la forêt de Buzet, aujourd’hui Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne) où, après avoir creusé leur tombe, ils furent fusillés et brûlés dans une grange.
Nous ignorons s’il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur (FFI), et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 24 mai 1957 paru au JORF le 29 mai 1957.
Son nom figure sur une plaque apposée sur le lieu de son arrestation et sur le monument aux morts 1939-1945, à Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne).
Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne) massacres de juillet et août 1944
Ses services sont homologués à partir du 16 janvier 1944.
Il fut arrêté le 28 juin 1944, alors qu’avec quelques camarades, il venait chercher des munitions dans un dépôt clandestin 22 avenue Joseph Lebrix à Toulouse (Haute-Garonne). Il fut emprisonné sous le nom de Verdier à la prison Saint-Michel de Toulouse dans le quartier 2, cellule 14.
Le 17 août 1944, il fut extrait de la prison avec 53 autres prisonniers et ils furent tous dirigés par la Milice vers la forêt de Buzet, aujourd’hui Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne) où, après avoir creusé leur tombe, ils furent fusillés et brûlés dans une grange.
Nous ignorons s’il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur (FFI), et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 24 mai 1957 paru au JORF le 29 mai 1957.
Son nom figure sur une plaque apposée sur le lieu de son arrestation et sur le monument aux morts 1939-1945, à Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne).
Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne) massacres de juillet et août 1944
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 524790 (nc).— SHD, Vincennes, GR 16 P 470837 (nc) ; GR 19 P 31/24, p. 23.— Commune de Buzet-sur-Tarn, Les tragédies de BUZET (juillet-août 1944).— Mémorial François Verdier ETÉ 1944 : LES MASSACRES DE BUZET-SUR-TARN.— Mémorial Genweb.— Mémoire des hommes.
Jean-Louis Ponnavoy
