TRUEL Firmin
Né le 1er mars 1890 à Gorses (Lot), massacré le 3 juin 1944 à Linac (Lot) ; cultivateur ; victime civile.
Fils de Jean Truel et Julie, Firmin Truel devint cultivateur et habitait avec sa femme et ses deux fils jumeaux à Linac (Lot).
Le 3 juin 1944 vers 10h30, des maquisards attaquèrent à Linac (Lot), un véhicule qui transportait trois SS de la division "Das Reich", dont le lieutenant Hohme, et l’épouse de ce dernier. Tous furent tués.
Les représailles de la la division "Das Reich" furent immédiates et touchèrent les villages de Viazac, Linac et Bagnac-sur-Célé (Lot).
A Linac, après que Paul Lacombe ait été abattu, les soldats s’en prirent à la ferme des Truel. Le père, Raymond Truel, fut tué. Sa femme Angèle, et ses deux fils, Adrien et Louis, Raymond, 14 ans, qui n’étaient que blessés furent carbonisés près de son cadavre, dans la ferme incendiée.
ll figure parmi les huit victimes massacrées à Linac.
Il a été reconnu « Mort pour la France ».
Il n’a pas de dossier de victime civile. Son nom figure sur le monument aux Morts de Linac.
Le 3 juin 1944 vers 10h30, des maquisards attaquèrent à Linac (Lot), un véhicule qui transportait trois SS de la division "Das Reich", dont le lieutenant Hohme, et l’épouse de ce dernier. Tous furent tués.
Les représailles de la la division "Das Reich" furent immédiates et touchèrent les villages de Viazac, Linac et Bagnac-sur-Célé (Lot).
A Linac, après que Paul Lacombe ait été abattu, les soldats s’en prirent à la ferme des Truel. Le père, Raymond Truel, fut tué. Sa femme Angèle, et ses deux fils, Adrien et Louis, Raymond, 14 ans, qui n’étaient que blessés furent carbonisés près de son cadavre, dans la ferme incendiée.
ll figure parmi les huit victimes massacrées à Linac.
Il a été reconnu « Mort pour la France ».
Il n’a pas de dossier de victime civile. Son nom figure sur le monument aux Morts de Linac.
Sources
SOURCES : Guy Penaud, La "Das Reich", 2° SS Panzer-Division, Périgueux, La Lauze, 2005. — Figeac et le Ségala (janvier-juillet 1944). — Mémorialgenweb. — État civil Linac.
Éric Panthou
