PICARD Maurice, Jean
Né le 2 août 1923 à Paris (XVIIe arr.), exécuté sommairement le 14 août 1944 à Lorris (Loiret) ; manœuvre ; résistant FFC et FFI.
Maurice Picard était le fils de Émile Charles Picard et de Marie Rouget, son épouse. Il était célibataire et domicilié 30, avenue Jean-Jaurès à Maisons-Alfort (Seine, Val-de-Marne). Il exerçait le métier de manœuvre.
Il entra dans la Résistance comme membre du groupe Lissac Deplanque de l’Armée Volontaire (6ème bataillon Seine Sud), puis intégra le maquis de Lorris (Loiret) commandé par Marc O’Neill et installé dans la forêt d’Orléans.
Le 14 août 1944 au matin, le régiment de sécurité 1010 sous les ordres de la Sipo-SD d’Orléans (Loiret) encercla le carrefour d’Orléans où était sensé se trouver le maquis mais il n’y avait à cet endroit qu’une poignée d’hommes en liaison avec l’état-major du maquis. Capturés, ils ne trahirent pas leurs camarades et furent exécutés. Vers 13h30, les Allemands passèrent à l’attaque du maquis. Le combat dura jusqu’à 21 heures. Maurice Picard fut fait prisonnier et fusillé par les Allemands route des Bordes, Carrefour d’Orléans, à Lorris (Loiret).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué soldat des Forces françaises combattantes (FFC) et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
L’acte de décès fut transcrit le 31 mai 1951 à Maisons-Alfort.
Il obtint la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945, la plaque commémorative des FFI du Loiret et les cénotaphes du maquis de Lorris au carrefour de la Résistance, à Lorris (Loiret), sur le monument commémoratif du parc de l’hôtel de ville, à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) et les plaques commémoratives 1939-1945 de l’église Saint-Rémi, à Maisons-Alfort (Val-de-Marne).
Il entra dans la Résistance comme membre du groupe Lissac Deplanque de l’Armée Volontaire (6ème bataillon Seine Sud), puis intégra le maquis de Lorris (Loiret) commandé par Marc O’Neill et installé dans la forêt d’Orléans.
Le 14 août 1944 au matin, le régiment de sécurité 1010 sous les ordres de la Sipo-SD d’Orléans (Loiret) encercla le carrefour d’Orléans où était sensé se trouver le maquis mais il n’y avait à cet endroit qu’une poignée d’hommes en liaison avec l’état-major du maquis. Capturés, ils ne trahirent pas leurs camarades et furent exécutés. Vers 13h30, les Allemands passèrent à l’attaque du maquis. Le combat dura jusqu’à 21 heures. Maurice Picard fut fait prisonnier et fusillé par les Allemands route des Bordes, Carrefour d’Orléans, à Lorris (Loiret).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué soldat des Forces françaises combattantes (FFC) et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
L’acte de décès fut transcrit le 31 mai 1951 à Maisons-Alfort.
Il obtint la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945, la plaque commémorative des FFI du Loiret et les cénotaphes du maquis de Lorris au carrefour de la Résistance, à Lorris (Loiret), sur le monument commémoratif du parc de l’hôtel de ville, à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) et les plaques commémoratives 1939-1945 de l’église Saint-Rémi, à Maisons-Alfort (Val-de-Marne).
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 130863 (nc) SHD, Vincennes, GR 16 P 475253 (nc) et GR 19 P 45/1 page 36.— Le maquis de Lorris L’attaque du 14 août 1944.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
