HARDY Jacques, Philippe, Sébastien
Né le 5 juin 1899 à Seraucourt-le-Grand (Aisne), mort en action le 25 août 1944 à Paris (VIIe arr.) ; employé principal à la SNCF ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Jacques Hardy était le fils de Philippe, Joseph Hardy, employé des contributions indirectes, et de Clara Rosalie Renaux, couturière. Il se maria le 23 mai 1925 à Paris (VIIe arr.) avec Marie Gabrielle Valérie Schanconi.
Il était employé de bureau à la SNCF avec le grade d’employé principal et demeurait 51 avenue de Ségur, à Paris VIIe arrondissement.
Il fut tué à l’ennemi le 25 août 1944 à 18h00 avenue de Lowendal, à Paris VIIe arrondissement, lors des combats pour la prise de l’École militaire. Son corps fut ensuite transporté à l’institut médico-légal, 2 place Mazas, à Paris XIIe arrondissement.
Son acte de décès fut dressé le 29 août 1944 sur la déclaration de Pierre Baumer, 48 ans, négociant 51 boulevard Diderot, à Paris XIIe arrondissement.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par décision du Secrétariat général aux Anciens combattants en date du 30 novembre 1944 portée en marge de l’acte de décès le 5 décembre 1944.et fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative 1939-1945 de la gare-école et la plaque commémorative 1914-1918 et 1939-1945 de la SNCF, à Dunkerque (Nord), sur la plaque commémorative de la mairie, la plaque commémorative dans l’église Saint-François-Xavier et la plaque commémorative à sa mémoire, à Paris (VIIe arr.)
Il n’est pas présent dans le Mémorial des Cheminots victime de la répression 1940-1945, sous la Direction de Thomas Fontaine.
Il était employé de bureau à la SNCF avec le grade d’employé principal et demeurait 51 avenue de Ségur, à Paris VIIe arrondissement.
Il fut tué à l’ennemi le 25 août 1944 à 18h00 avenue de Lowendal, à Paris VIIe arrondissement, lors des combats pour la prise de l’École militaire. Son corps fut ensuite transporté à l’institut médico-légal, 2 place Mazas, à Paris XIIe arrondissement.
Son acte de décès fut dressé le 29 août 1944 sur la déclaration de Pierre Baumer, 48 ans, négociant 51 boulevard Diderot, à Paris XIIe arrondissement.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par décision du Secrétariat général aux Anciens combattants en date du 30 novembre 1944 portée en marge de l’acte de décès le 5 décembre 1944.et fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative 1939-1945 de la gare-école et la plaque commémorative 1914-1918 et 1939-1945 de la SNCF, à Dunkerque (Nord), sur la plaque commémorative de la mairie, la plaque commémorative dans l’église Saint-François-Xavier et la plaque commémorative à sa mémoire, à Paris (VIIe arr.)
Il n’est pas présent dans le Mémorial des Cheminots victime de la répression 1940-1945, sous la Direction de Thomas Fontaine.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 353661 (base victimes civiles, nc).— Service Historique de la Défense, Vincennes, GR 16 P 285817 (nc).— La Libération de Paris Mystère à l’Ecole militaire.— État civil (acte de naissance n° 30 et acte de décès n° 1275).
Jean-Louis Ponnavoy