Né le 14 juin 1899 au [Le Creusot] (Saône-et-Loire), mortellement blessé le 19 août 1944 à Paris (Ve arr.) et mort à l’hôpital le 23 août 1944 à Paris (XIVe arr.) ; téléphoniste ; résistant ou civil.

Carré militaire, cimetière parisien de Pantin
Carré militaire, cimetière parisien de Pantin
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Léonard Nectoux était le fils de Louis Nectoux, mineur, et de Jacqueline Rigolet, sans profession. Il se maria le 9 septembre 1939 à Paris (Ve arrr.) avec Marie Milliery, âgée de 44 ans, née à La Salle (Italie) le 19 août 1895, sans profession, tous deux domiciliés 33 place Maubert, à Paris (Ve arr.) Léonard Nectoux exerçait le métier de téléphoniste.
Il tomba mortellement blessé sur la barricade du quai Montebello, le 19 août 1944 et décéda le jour même à 20 heures, 7 rue du Texel, à Paris (XIVe arr.) des suites de ses blessures.
L’acte de décès fut dressé le 31 août 1944 sur la déclaration de Suzanne Tara, 40 ans, infirmière, domiciliée 7 rue du Texel.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur l’acte et n’a pas de dossier résistant au SHD Vincennes.
Il fut enterré dans le carré militaire du cimetière parisien de Pantin (Seine, Hauts-de-Seine) le 28 août 1944.
Son nom figure sur la plaque commémorative du front national du 5e arrondissement, quai de Montebello, à Paris (Ve arr.)
Sources

SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 381866 (nc)— Mémoire des Hommes (victimes civiles).— Mémorial Genweb.— Geneanet.— État civil (acte de naissance n° 345, mariage n° 904 et de décès n° 4427).

Jean-Louis Ponnavoy

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