JAUDOUX Roger
Né le 23 mai 1920 au [Le] Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort en action le 25 août 1944 à Paris (VIIe arr.) ; tourneur ; résistant de l’Armée des volontaires.
Plaque commémorative Roger JAUDOUX
Laetitia FILIPPI photographie sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Tombe Roger JAUDOUX
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Roger Jaudoux était le fils naturel de Mélanie Jaudoux. Il était célibataire et domicilié 208 rue du Faubourg Saint-Martin à Paris (Xe arr.). Il exerçait le métier de tourneur.
Il entra dans la Résistance à l’Armée des volontaires et participa aux combats de la libération de Paris.
Il fut tué en service commandé des FFI pendant l’insurrection de Paris 30 boulevard des Invalides, dans le VIIe arrondissement.
La plaque qui figure sur sa tombe à Saint-Bonnet-la-Rivière (Corrèze) indique qu’il fut « lâchement assassiné par un milicien ».
Son corps fut transporté à l’hôpital Broussais, à Paris (XIVe arr.).
L’acte fut dressé le 29 août 1944 sur la déclaration de Marc Kouscher, 35 ans, employé, 96 rue Didot, Paris XIVe.
Roger Jaudoux obtint la mention « Mort pour la France » portée en marge de la transcription de l’acte de décès le 12 juillet 1946.
Il fut inhumé le 30 août 1944 au cimetière parisien de Pantin (Seine, Hauts-de-Seine). Ses restes furent transférés au cimetière de Saint-Bonnet-la-Rivière (Corrèze), le 27 septembre 1947.
Il fut cité à l’ordre de l’Armée et décoré de la Croix de guerre avec palme et de la Médaille Militaire à titre posthume par décret du 14 janvier 1948 paru au JORF du 17 février 1948 (p. 1668).
Son nom figure sur la plaque commémorative boulevard des Invalides, à Paris (VIIe arr.) et sur le monument aux morts, à Saint-Bonnet-la-Rivière.
Il entra dans la Résistance à l’Armée des volontaires et participa aux combats de la libération de Paris.
Il fut tué en service commandé des FFI pendant l’insurrection de Paris 30 boulevard des Invalides, dans le VIIe arrondissement.
La plaque qui figure sur sa tombe à Saint-Bonnet-la-Rivière (Corrèze) indique qu’il fut « lâchement assassiné par un milicien ».
Son corps fut transporté à l’hôpital Broussais, à Paris (XIVe arr.).
L’acte fut dressé le 29 août 1944 sur la déclaration de Marc Kouscher, 35 ans, employé, 96 rue Didot, Paris XIVe.
Roger Jaudoux obtint la mention « Mort pour la France » portée en marge de la transcription de l’acte de décès le 12 juillet 1946.
Il fut inhumé le 30 août 1944 au cimetière parisien de Pantin (Seine, Hauts-de-Seine). Ses restes furent transférés au cimetière de Saint-Bonnet-la-Rivière (Corrèze), le 27 septembre 1947.
Il fut cité à l’ordre de l’Armée et décoré de la Croix de guerre avec palme et de la Médaille Militaire à titre posthume par décret du 14 janvier 1948 paru au JORF du 17 février 1948 (p. 1668).
Son nom figure sur la plaque commémorative boulevard des Invalides, à Paris (VIIe arr.) et sur le monument aux morts, à Saint-Bonnet-la-Rivière.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 59169 (nc).— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— Geneanet.— JORF, Gallica.— État civil, acte de décès n°4351, transcription, acte N°2766, 1944, XIVe arr.
Jean-Louis Ponnavoy
