EBRAN Maurice, Marius
Né le 23 septembre 1910 à Les Loges (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort en action le 21 juillet 1944 à Vassieux-en-Vercors (Drôme) ; tonnelier ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant (DIR).
Maurice EBRAN
Photo : Musée départemental de la Résistance du Vercors, Vassieux-en-Vercors, Drôme
Maurice, Marius Ebran était le fils de Joseph, Alexandre Ebran et de Eugénie, Madeleine, Marie Basille, son épouse, journaliers.
Il naquit au domicile de ses parents, hameau du Mont-Rôty aux Loges (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).
Son père mourut des suites de blessures de guerre le 10 octobre 1915 à Croix-en-Champagne (Marne). Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Maurice Ebran fut adopté par la Nation par décision du tribunal civil de Paris en date du 15 mai 1919.
Il épousa Antoinette, Augustine Quincieux le 5 octobre 1935 à Iseron, aujourd’hui Izeron (Isère).
Veuf en 1936, il épousa en secondes noces Marie, Solange, Clémence Buriand le 7 mai 1938 à Saint-Marcellin (Isère). Il exerçait la profession de tonnelier.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 16 juillet 1944.
Luttant contre les Allemands qui venaient d’investir le plateau du Vercors avec des planeurs, il fut tué en action le 21 juillet 1944 à Vassieux-en-Vercors (Drôme).
C’est un jugement déclaratif de décès du tribunal civil de Die (Drôme) du 22 mai 1945 qui établit son décès.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 7 mai 1945 et fut homologué résistant, soldat des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la résistance à titre posthume par décret du 2 février 1960 paru au JO le 7 février 1960.
Son nom figure sur le monument aux morts de Saint-Marcellin (Isère), sur une plaque commémorative apposée sur le mur de la Nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors et sur le monument commémoratif départemental à Mirmande-Saulce-sur-Rhône (Drôme).
Il naquit au domicile de ses parents, hameau du Mont-Rôty aux Loges (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).
Son père mourut des suites de blessures de guerre le 10 octobre 1915 à Croix-en-Champagne (Marne). Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Maurice Ebran fut adopté par la Nation par décision du tribunal civil de Paris en date du 15 mai 1919.
Il épousa Antoinette, Augustine Quincieux le 5 octobre 1935 à Iseron, aujourd’hui Izeron (Isère).
Veuf en 1936, il épousa en secondes noces Marie, Solange, Clémence Buriand le 7 mai 1938 à Saint-Marcellin (Isère). Il exerçait la profession de tonnelier.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 16 juillet 1944.
Luttant contre les Allemands qui venaient d’investir le plateau du Vercors avec des planeurs, il fut tué en action le 21 juillet 1944 à Vassieux-en-Vercors (Drôme).
C’est un jugement déclaratif de décès du tribunal civil de Die (Drôme) du 22 mai 1945 qui établit son décès.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 7 mai 1945 et fut homologué résistant, soldat des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la résistance à titre posthume par décret du 2 février 1960 paru au JO le 7 février 1960.
Son nom figure sur le monument aux morts de Saint-Marcellin (Isère), sur une plaque commémorative apposée sur le mur de la Nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors et sur le monument commémoratif départemental à Mirmande-Saulce-sur-Rhône (Drôme).
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 178829 et AC 21 P 640707 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 207209 (nc) ; GR 19 P 38/16, p. 9 et 52. — Mémoire des hommes. — Mémorial GenWeb. — Geneanet. — État civil, acte de naissance n°73, acte de décès, transcription n°48, Saint-Marcellin, 1947.
Jean-Luc Marquer
