CARLES Pierre, Fortuné
Né le 10 février 1891 à Paris (XVIIe arr.), victime civile des combats de la Libération morte le 25 août 1944 à Paris (Xe arr.) ; fumiste ; victime civile.
Pierre Carles était le fils de Joseph Carles, menuisier, et de Blanche Joséphine Bonacorsy, sans profession. Il était veuf de Jeanne, Marguerite, Aline Perru avec laquelle il s’était marié le 17 février 1912, à Paris (XVIIe arr.). Il exerçait alors le métier de monteur de voie Decauville.
Il fut incorporé au 6e régiment d’infanterie le 10 octobre 1912 puis partit aux armées le 6 août 1914. Il fut blessé le 16 mai 1915 et évacué au dépôt. Il revint aux armées le 30 mai 1915 et passa au 236e RI le 13 octobre 1917 puis au 28e RI le 27 mars 1919, au 205e le 30 juin 1918 et au 8e le 5 avril 1919. Il fut envoyé en congé illimité le 22 juillet 1919. Il fut réformé temporairement le 15 octobre 1920 et se retira 34 rue Davy à Paris (XVIIe arr.) puis à Arnouville-lès-Gonesse, aujourd’hui Arnouville (Seine-et-Oise, Val-d’Oise) le 12 septembre 1924, à Villiers-le-Bel (Seine-et-Oise, Val-d’Oise) le 17 avril 1925, de nouveau à Arnouville le 2 février 1926.
Lors de la Libération de Paris, il était domicilié 6 rue de l’Orillon, à Paris (XIe arr.) et exerçait le métier de fumiste selon l’acte de décès.
Il fut rappelé à l’activité le 24 septembre 1938 et renvoyé dans ses foyers le 2 octobre.
Il fut victime des combats pour la Libération de Paris et décéda des suites de ses blessures le 25 août 1944 à une heure quinze à l’hôpital Saint-Louis, 2 place du Docteur-Alfred-Fournier, à Paris (Xe arr.),
L’acte de décès fut dressé le 28 août sur la déclaration de Jules Galtier, 48 ans, employé 2 place du Docteur-Alfred-Fournier, à Paris (Xe arr.)
Il ne semble pas mentionné sur une plaque commémorative.
Il fut incorporé au 6e régiment d’infanterie le 10 octobre 1912 puis partit aux armées le 6 août 1914. Il fut blessé le 16 mai 1915 et évacué au dépôt. Il revint aux armées le 30 mai 1915 et passa au 236e RI le 13 octobre 1917 puis au 28e RI le 27 mars 1919, au 205e le 30 juin 1918 et au 8e le 5 avril 1919. Il fut envoyé en congé illimité le 22 juillet 1919. Il fut réformé temporairement le 15 octobre 1920 et se retira 34 rue Davy à Paris (XVIIe arr.) puis à Arnouville-lès-Gonesse, aujourd’hui Arnouville (Seine-et-Oise, Val-d’Oise) le 12 septembre 1924, à Villiers-le-Bel (Seine-et-Oise, Val-d’Oise) le 17 avril 1925, de nouveau à Arnouville le 2 février 1926.
Lors de la Libération de Paris, il était domicilié 6 rue de l’Orillon, à Paris (XIe arr.) et exerçait le métier de fumiste selon l’acte de décès.
Il fut rappelé à l’activité le 24 septembre 1938 et renvoyé dans ses foyers le 2 octobre.
Il fut victime des combats pour la Libération de Paris et décéda des suites de ses blessures le 25 août 1944 à une heure quinze à l’hôpital Saint-Louis, 2 place du Docteur-Alfred-Fournier, à Paris (Xe arr.),
L’acte de décès fut dressé le 28 août sur la déclaration de Jules Galtier, 48 ans, employé 2 place du Docteur-Alfred-Fournier, à Paris (Xe arr.)
Il ne semble pas mentionné sur une plaque commémorative.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 322054 (nc).— Mémoire des Hommes (victimes civiles).— Registres matricules militaires fiche n° 5367.— État civil (acte de naissance n° 512 et de décès n° 2255).
Jean-Louis Ponnavoy