GOY Jean, Louis
Né le 12 septembre 1908 à Bourg, aujourd’hui Bourg-en-Bresse (Ain), exécuté sommairement le 14 août 1944 à Montereau (Loiret) ; garde forestier ; résistant FFI homologué DIR.
Jean Louis GOY
Benoit THIAULT photographie sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0.
Jean, Louis Goy était le fils de Julien Joseph Goy, plombier et de Louise Mourensac, son épouse. Il se maria le 11 juin 1932 à Bourg, aujourd’hui Bourg-en-Bresse (Ain) avec Marthe Crétin, dont il eut deux filles.
Il fut mobilisé en 1939 au 212e régiment régional. Fait prisonnier, il fut interné au Frontstalag de Pithiviers (Loiret) puis libéré.
Il était garde forestier de la forêt de Lorris (Loiret) et entra dans le maquis FFI du même nom, où ses services furent homologués à compter du 9 août 1944.
Il fut capturé lors de l’attaque allemande du 14 août 1944 et fusillé au carrefour d’Orléans, à Montereau (Loiret).
Il fut d’abord inhumé sur place puis transféré le 1er décembre 1949 dans le carré militaire du cimetière communal, à Bourg-en-Bresse (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué au grade d’adjudant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il reçut à titre posthume la Médaille de la Résistance par décret du 2 février 1960 publié au JO du 7 février 1960.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Bourg-en-Bresse (Ain) et Montereau (Loiret), sur la plaque commémorative des FFI du Loiret, au musée départemental de la Résistance, sur la stèle commémorative 1939-1945 et les cénotaphes du maquis de Lorris au carrefour de la Résistance, à Lorris (Loiret).
Il fut mobilisé en 1939 au 212e régiment régional. Fait prisonnier, il fut interné au Frontstalag de Pithiviers (Loiret) puis libéré.
Il était garde forestier de la forêt de Lorris (Loiret) et entra dans le maquis FFI du même nom, où ses services furent homologués à compter du 9 août 1944.
Il fut capturé lors de l’attaque allemande du 14 août 1944 et fusillé au carrefour d’Orléans, à Montereau (Loiret).
Il fut d’abord inhumé sur place puis transféré le 1er décembre 1949 dans le carré militaire du cimetière communal, à Bourg-en-Bresse (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué au grade d’adjudant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il reçut à titre posthume la Médaille de la Résistance par décret du 2 février 1960 publié au JO du 7 février 1960.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Bourg-en-Bresse (Ain) et Montereau (Loiret), sur la plaque commémorative des FFI du Loiret, au musée départemental de la Résistance, sur la stèle commémorative 1939-1945 et les cénotaphes du maquis de Lorris au carrefour de la Résistance, à Lorris (Loiret).
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen SHD AC 21 P 618243 (nc), SHD Vincennes, GR 16 P 266428 (nc) et GR 19 P 45/1 pages 38 et 104.— Mémoire des Hommes.— Mémorial genweb.— État civil (acte de naissance n° 339).
Jean-Louis Ponnavoy
