SIMAR Raymond, Jean
Né le 24 mai 1915 à Paris (Xe arr. ; Seine), exécuté sommairement le 30 juin 1944 près du maquis de Voisines (Haute-Marne) ; militaire ; résistant.
Orphelin de guerre (son père fut tué en 1917), Raymond Simar avait obtenu le Certificat d’études dans l’Aisne. C’est lors de son engagement au sein du 22e régiment d’Infanterie à Chaumont qu’il découvrit la Haute-Marne.
En 1936 il épousa une jeune fille de Louvemont et le ménage s’installa à Langres.
Après la défaite, il resta dans l’armée d’Armistice. Démobilisé en 1942, il revint à Langres.
Il fut recruté par Joseph Pougeux, et bientôt rejoignit le maquis de Voisines.
Le 30 juin, surpris comme les autres résistants au maquis, il fut d’abord fait prisonnier puis brutalisé (une de ses oreilles pendit).
Avant la rafale, avec Michel Gerbet, il cria « Vive de Gaulle » .
Mort pour la France. Croix de guerre. Homologué au grade d’aspirant FFI.
Son nom est inscrit sur les monuments de Voisines (orthographié SIMARD) et de Langres.
Voir Voisines (30 juin 1944)
En 1936 il épousa une jeune fille de Louvemont et le ménage s’installa à Langres.
Après la défaite, il resta dans l’armée d’Armistice. Démobilisé en 1942, il revint à Langres.
Il fut recruté par Joseph Pougeux, et bientôt rejoignit le maquis de Voisines.
Le 30 juin, surpris comme les autres résistants au maquis, il fut d’abord fait prisonnier puis brutalisé (une de ses oreilles pendit).
Avant la rafale, avec Michel Gerbet, il cria « Vive de Gaulle » .
Mort pour la France. Croix de guerre. Homologué au grade d’aspirant FFI.
Son nom est inscrit sur les monuments de Voisines (orthographié SIMARD) et de Langres.
Voir Voisines (30 juin 1944)
Sources
SOURCES : SHD-AVCC Caen, AC 21 P 154823 et Vincennes,GR 16 P 548742 (à consulter). — Josette et André Grossetête, Voisines, Juin 44 : Chronique d’un massacre annoncé, Éditions D. Guéniot. — Mémoire des Hommes. — MémorialGenWeb.
André Grossetête
