BOTTEON Augusto (ou Auguste)
Né le 10 mars 1923 à Conegliano (Trévise, Italie), mort en action le 15 juin 1944 à Uchon (Saône-et-Loire) ; résistant FTPF, bataillon Valmy.
Fils d’Angelo et de Louise Janin, époux de Paulette Jacob, il était de nationalité italienne, comme le précise son Certificat d’appartenance aux Forces Françaises de l’Intérieur (F.F.I.) daté du 3 mars 1948. Ce même certificat le qualifie d’ « agent de liaison » et établit la durée de sa présence aux F.F.I. : du 15 septembre 1943 au 15 juin 1944. La présence de son nom sur le monument commémoratif du bataillon Valmy, semble témoigner de son engagement dans cette formation FTPF.
D’après une attestation du Commandant Boussin, commandant le 7è Bataillon, datée du 10 décembre 1944, « le soldat Botton Augusto est tombé au champ d’honneur de la bataille d’Uchon en date du 15 juin 1944 ».
Sur Mémoire des hommes, il est mentionné Mort pour la France le 15-06-1944 (Saint Symphorien de Marmagne). Son nom, avec la mention « Mort pour la France », figure sur le monument aux morts de Saint Vallier et sur le monument commémoratif du bataillon Valmy, à Uchon (Saône-et-Loire).
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il s’agit peut-être d’Auguste Botteon, militant CGT du Textile, salué au congrès fédéral de novembre 1950 parmi 56 noms de "Ceux du textile qui sont tombés dans la lutte contre le fascisme". Voir Jules Vercrysse.
D’après une attestation du Commandant Boussin, commandant le 7è Bataillon, datée du 10 décembre 1944, « le soldat Botton Augusto est tombé au champ d’honneur de la bataille d’Uchon en date du 15 juin 1944 ».
Sur Mémoire des hommes, il est mentionné Mort pour la France le 15-06-1944 (Saint Symphorien de Marmagne). Son nom, avec la mention « Mort pour la France », figure sur le monument aux morts de Saint Vallier et sur le monument commémoratif du bataillon Valmy, à Uchon (Saône-et-Loire).
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il s’agit peut-être d’Auguste Botteon, militant CGT du Textile, salué au congrès fédéral de novembre 1950 parmi 56 noms de "Ceux du textile qui sont tombés dans la lutte contre le fascisme". Voir Jules Vercrysse.
Sources
SOURCES : Pia Leonetti Carena, Les Italiens du Maquis, Paris, Éditions mondiales, 1968 — Congrès de la fédération CGT du Textile, novembre 1950. — Mémorial GenWeb — SHD Vincennes GR 16 P 75887 — État civil de Saint Vallier (Saône-et-Loire).
Antonio Bechelloni
