Né le 14 juillet 1904 à Celon (Indre), massacré par les Allemands le 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse ; maçon.

Fils d’Eugène Defait et d’Amélie Brunaud ; André Defait était maçon ; il fut tué le 9 juin 1944 au soir par les Allemands, rue Auclerc Descottes, au coin de la rue Paul Bert, alors qu’il venait à bicyclette, voir son frère Léon Defait*, blessé grièvement par les Allemands, le matin même à Argenton ; marié à Thérèse, Julia, Germaine Michaud ; déclaration de décès de Denise Robert, belle-sœur. Reconnu « Mort pour la France ». Son nom figure sur le Mémorial du 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse.


Le 9 juin 1944 à Argenton-sur-Creuse
Sources

SOURCES : n° 92 du registre des décès d’Argenton-sur-Creuse ; Pierre Brunaud, Argenton-sur-Creuse dans la guerre, 2008..

Michel Gorand

Version imprimable