DUBUISSON Arsène
Né le 20 mars 1887 à Trélazé (Maine-et-Loire), mort des suites de ses blessures le 8 août 1944 à Laval (Sarthe) ; Retraité des chemins de fer.
Marié et père de 3 (ou 4) enfants (30,26,22 ans), Arsène Dubuisson résidait 9 rue de la Maillarderie à Laval.
Il entra au chemin de fer en 1911, sa carrière fut interrompue par la Première Guerre mondiale ou il fut Ancien combattant blessé.
Le 3 août 1944, il regagna à bicyclette le Haut-Bourd, lieu-dit entre le Genest-Saint-Isle et les Chênes-Secs où il se réfugia avec sa famille. Ne s’arrêtant pas à l’ordre intimé par des soldats allemands, il fut aussitôt abattu et jeté dans un fossé. Découvert par deux officiers allemands qui le transportèrent à l’hôpital Saint-Louis de Laval, il décéda le 8 août 1944 après cinq jours d’
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il entra au chemin de fer en 1911, sa carrière fut interrompue par la Première Guerre mondiale ou il fut Ancien combattant blessé.
Le 3 août 1944, il regagna à bicyclette le Haut-Bourd, lieu-dit entre le Genest-Saint-Isle et les Chênes-Secs où il se réfugia avec sa famille. Ne s’arrêtant pas à l’ordre intimé par des soldats allemands, il fut aussitôt abattu et jeté dans un fossé. Découvert par deux officiers allemands qui le transportèrent à l’hôpital Saint-Louis de Laval, il décéda le 8 août 1944 après cinq jours d’
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Sources
SOURCES : Michel Desrues, Magali Even, Mémorial de la Mayenne 1940-1945. Fusillés, massacrés morts aux combats de la Libération, Direction départementale de l’ONACVG de la Mayenne, 2001.— Thomas Fontaine (dir.), Mémorial des cheminots victimes de la répression, 1940-1944, Perrin/SNCF, Paris, 2017.
Michel Desrues, Magali Even