Né le 11 avril 1900 à Thil (Meurthe-et-Moselle), massacré le 3 septembre 1944 à Audun-le-Tiche (Moselle annexée) ; victime civile.

Au cours de la retraite, des coups de feu furent tirés à Audun-le-Tiche sur des troupes allemandes qui ratissèrent le quartier de l’actuelle rue des Bosquets.
Jacques Sefrin, se trouvait là, dans des haies, à cueillir des noisettes. Malentendant, il n’entendit pas les Allemands qui l’abattirent sur place sans sommation.
Sources

SOURCE : Eugène Gaspard, Ceux que rien ne fait oublier, Thionville, éditions Klopp, 1984, p. 356.

Eugène Gaspard, Philippe Wilmouth

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