Né le 25 juin 1905 à Montviette (Calvados), massacré le 18 août 1944 à Saint-Michel-de-Livet (Calvados) ; journalier agricole.

Fils de Pierre Désiré Grandval et de Joséphine Armandine Gorge, il s’était marié le 11 février 1929 à Ouilly-le-Tesson avec Émilienne Ernestine Sénécal.
Domicilié à Sainte-Margueritte-de-Viette, André Grandval était journalier agricole.

Le 18 août 1944, alors qu’il travaillait dans un champ en compagnie d’Albert Delignon retentirent de fortes détonations. Les deux hommes se dirigèrent à la hâte vers la ferme toute proche d’Ernest Bourrienne dans laquelle des SS venaient de lancer des grenades, tuant la plus grande partie de la famille. Arrivés à proximité du lieu du drame, André Granval et son compagnon furent tous deux abattus par les SS en plein herbage.
Son nom est gravé sur le monument aux morts de Sainte-Marguerite-de-Viette, ainsi que sur la plaque commémorative de la ferme Bourrienne.
Saint-Michel-de-Livet (Calvados) : massacre du 18 août 1944
Sources

SOURCES  : Centre de recherche d’histoire quantitative de l’Université de Caen, Quellien J. [dir.], Livre mémorial des victimes du nazisme dans le Calvados, Caen, Conseil Général du Calvados, 2004.—MémorialGenweb.

Jean Quellien

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