GALLEY Philippe, Auguste
Né le 8 novembre 1922 à Culoz (Ain), mort au combat le 1er septembre 1944 à Villette, aujourd’hui Villette-sur-Ain (Ain) ; cheminot ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Philippe Galley était le fils de Francis et de Marie Louise Bonhomme. Il était célibataire et domicilié à Ambérieu (Ain).
Il s’engagea dans la marine nationale puis entra à la SNCF comme ouvrier au dépôt de Carnoules (Var). Il entra ensuite dans la Résistance en rejoignant le maquis de l’Ain et le bataillon FFI Augé, constitué après le 8 juin 1944 à Ambronay et commandé par Gaston Gambier. Il était affecté à la compagnie Florent.
Le 1er septembre les troupes américaines approchaient de Meximieux (Ain) où de violents combats avaient lieu. La compagnie de Philippe Galley était postée au de Mas Savoie, entre Châtillon-la-Palud et Villette-sur-Ain. Voyant des soldats arriver, les maquisards les confondirent avec des américains. Ils s’agissait en fait d’allemands qui ouvrirent le feu et tuèrent Philippe Galley.
L’acte de décès fut transcrit le 1er décembre 1944 à Ambérieu-en-Bugey.
Philippe Galley est inhumé au cimetière communal, à Ambérieu-en-Bugey (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le monument aux morts, à Ambérieu-en-Bugey (Ain), sur la plaque commémorative en gare, à Carnoules (Var) et sur le monument de la SNCF dans le square Narvik, à Marseille Ier arr. (Bouches-du-Rhône).
Il s’engagea dans la marine nationale puis entra à la SNCF comme ouvrier au dépôt de Carnoules (Var). Il entra ensuite dans la Résistance en rejoignant le maquis de l’Ain et le bataillon FFI Augé, constitué après le 8 juin 1944 à Ambronay et commandé par Gaston Gambier. Il était affecté à la compagnie Florent.
Le 1er septembre les troupes américaines approchaient de Meximieux (Ain) où de violents combats avaient lieu. La compagnie de Philippe Galley était postée au de Mas Savoie, entre Châtillon-la-Palud et Villette-sur-Ain. Voyant des soldats arriver, les maquisards les confondirent avec des américains. Ils s’agissait en fait d’allemands qui ouvrirent le feu et tuèrent Philippe Galley.
L’acte de décès fut transcrit le 1er décembre 1944 à Ambérieu-en-Bugey.
Philippe Galley est inhumé au cimetière communal, à Ambérieu-en-Bugey (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le monument aux morts, à Ambérieu-en-Bugey (Ain), sur la plaque commémorative en gare, à Carnoules (Var) et sur le monument de la SNCF dans le square Narvik, à Marseille Ier arr. (Bouches-du-Rhône).
Sources
SOURCES : dossier GR 16 P 240357 sans homologation et AC 21 P 190742 (non consultés).— Notice sans auteur dans le Mémorial 1939-1945 des Cheminots victimes de la répression sous la direction de Thomas Fontaine, Perrin/SNCF, Paris, 2017.— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne.— Les Amis du Musée de la Résistance-Nantua.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
