Né le 7 décembre 1924 à Dettey (Saône-et-Loire), mort des suites de ses blessures le 12 juillet 1944 à Beaubery (Saône-et-Loire) ; chaudronnier ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).

Jean Boyer était le fils de Claude, facteur des postes et de Madeleine Douheret, sans profession. Il était célibataire et exerçait le métier de chaudronnier aux mines de Blanzy (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) au 5e Bataillon de Saint-Gengoux-le-National (Saône-et-Loire).
Il décéda des suites de blessures le 12 juillet 1944 à 5h30, au lieu-dit "La Chapelle", à Beaubery (Saône-et-Loire).
L’acte de décès fut dressé le 13 juillet 1944 au nom d’un inconnu sur la déclaration de Antonin Nugues, cultivateur au lieu-dit La Chapelle à Beaubery et transcrit le 26 septembre 1944, à Blanzy (Saône-et-Loire).
Il fut l’objet d’un jugement rectificatif de décès par le Tribunal civil de Charolles rendu le 23 novembre 1944.
Il est inhumé au cimetière communal, à Blanzy (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » par ordre du Service central de l’État civil le 30 octobre 1945 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Blanzy (Saône-et-Loire).
Sources

SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).

Jean-Louis Ponnavoy

Version imprimable