BODET Lucien
Né le 18 octobre 1919 au [Le] Creusot (Saône-et-Loire), exécuté sommairement le 28 juin 1944 à Marmagne (Saône-et-Loire) ; fraiseur ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Lucien Bodet était le fils de Claude, ouvrier et de Marthe Garnier, sans profession. Il était marié avec Jeanne Duflos et domicilié au Creusot. Il exerçait le métier de fraiseur.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Le 28 juin 1944, il fut capturé à Marmagne par les troupes allemandes en compagnie de cinq autres camarades. Après avoir été torturés, ils furent fusillés dans le bois de Vésigneux, à Marmagne (Saône-et-Loire).
Il est inhumé dans le cimetière communal Saint-Laurent, au Creusot (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et obtint le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) [SHD Vincennes dossier GR 16 P 66532].
Son nom figure sur la stèle érigée à la sortie de Marmagne, au carrefour des D61 et N80 avec l’inscription suivante : « Ici, six patriotes Français ont été torturés et assassinés, victimes de la barbarie allemande » et sur le monument aux morts et le monument commémoratif, au Creusot (Saône-et-Loire). Ils furent cités à l’ordre de la Nation.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Le 28 juin 1944, il fut capturé à Marmagne par les troupes allemandes en compagnie de cinq autres camarades. Après avoir été torturés, ils furent fusillés dans le bois de Vésigneux, à Marmagne (Saône-et-Loire).
Il est inhumé dans le cimetière communal Saint-Laurent, au Creusot (Saône-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et obtint le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) [SHD Vincennes dossier GR 16 P 66532].
Son nom figure sur la stèle érigée à la sortie de Marmagne, au carrefour des D61 et N80 avec l’inscription suivante : « Ici, six patriotes Français ont été torturés et assassinés, victimes de la barbarie allemande » et sur le monument aux morts et le monument commémoratif, au Creusot (Saône-et-Loire). Ils furent cités à l’ordre de la Nation.
Sources
SOURCES : Journal de Saône-et-Loire du 8 mai 2013, Marmagne Le devoir de mémoire respecté.—Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
