SARRAND Robert, Christophe
Né le 18 novembre 1912 à Lons-le-Saunier (Jura), mort en action le 25 août 1944 à Lons-le-Saunier ; serrurier ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Robert Sarrand était le fils de Christophe François Eugène, âgé de 43 ans, serrurier et de Marie Joséphine Jambon, âgée de 30 ans, sans profession. Il se maria le 23 mai 1941 avec Marcelle Germaine Piot. Il était domicilié 74 rue Saint-Désiré à Lons et exerçait avec son frère Georges le métier de serrurier.
Dans la nuit du 24 au 25 août 1944, les jeunes maquisards jurassiens des Forces françaises de l’intérieur (FFI) verrouillèrent les entrées de la ville de Lons-Saunier et passèrent à l’attaque vers 2h30 du matin contre les troupes d’occupation. De violents combats eurent lieu dans le quartier de la gare où se trouvaient la Felgendarmerie et la Kommandantur, ainsi qu’aux environs de la place Bichat et du cimetière. Six résistants furent tués pendant le combat dont Robert Sarrand qui tomba boulevard Gambetta pour la Libération de sa ville. Le jour même Lons était définitivement délivré de l’occupant.
Il est inhumé dans le cimetière communal, à Lons-le-Saunier (Jura).
Son frère Georges né le 18 mai 1904 à Lons-le-Saunier et qui exerçait avec lui la profession de serrurier était entré à la compagnie Valmy en décembre 1942. Il fut agent de renseignements et hébergea des réfractaires et des clandestins. Il fut blessé le 25 août 1944 au cours des combats pour la Libération de Lons-le-Saunier.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par lettre du Secrétaire général aux Anciens combattants du 17 juillet 1945 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945 du chemin des Quarts et sur le monument aux morts, à Lons-le-Saunier (Jura).
Dans la nuit du 24 au 25 août 1944, les jeunes maquisards jurassiens des Forces françaises de l’intérieur (FFI) verrouillèrent les entrées de la ville de Lons-Saunier et passèrent à l’attaque vers 2h30 du matin contre les troupes d’occupation. De violents combats eurent lieu dans le quartier de la gare où se trouvaient la Felgendarmerie et la Kommandantur, ainsi qu’aux environs de la place Bichat et du cimetière. Six résistants furent tués pendant le combat dont Robert Sarrand qui tomba boulevard Gambetta pour la Libération de sa ville. Le jour même Lons était définitivement délivré de l’occupant.
Il est inhumé dans le cimetière communal, à Lons-le-Saunier (Jura).
Son frère Georges né le 18 mai 1904 à Lons-le-Saunier et qui exerçait avec lui la profession de serrurier était entré à la compagnie Valmy en décembre 1942. Il fut agent de renseignements et hébergea des réfractaires et des clandestins. Il fut blessé le 25 août 1944 au cours des combats pour la Libération de Lons-le-Saunier.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par lettre du Secrétaire général aux Anciens combattants du 17 juillet 1945 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945 du chemin des Quarts et sur le monument aux morts, à Lons-le-Saunier (Jura).
Sources
SOURCES : Journal "Le Progrès du Jura" du 25 août 2015 Le 25 août 1944, Lons se réveille libérée.— Mémorial Genweb.— État civil (actes de naissance et décès).
Jean-Louis Ponnavoy
