THERRY Armand, Maurice
Né le 17 mars 1920 à Saint Bérain-sous-Sanvignes (Saône-et-Loire), mort en action le 8 septembre 1944 à Autun (Saône-et-Loire) ; résistant des Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du bataillon Valmy et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Armand Therry était le fils Louis et de Anne Bonnin. Il était célibataire.
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du maquis Valmy qui deviendra le régiment Valmy et prit part aux combats pour la libération d’Autun.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun mais l’attaque échoua. De violents combats eurent lieu dans plusieurs secteurs de la ville. Armand Therry fut tué à l’ennemi le 8 septembre 1944 à Autun (Saône-et-Loire). Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
Il y eut un jugement de décès rendu par le Tribunal d’Autun le 15 octobre 1945 transcrit à Saint-Berain-sous-Sanvignes (Saône-et-Loire) le 2 novembre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts à Saint-Berain-sous-Sanvignes (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du maquis Valmy qui deviendra le régiment Valmy et prit part aux combats pour la libération d’Autun.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun mais l’attaque échoua. De violents combats eurent lieu dans plusieurs secteurs de la ville. Armand Therry fut tué à l’ennemi le 8 septembre 1944 à Autun (Saône-et-Loire). Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
Il y eut un jugement de décès rendu par le Tribunal d’Autun le 15 octobre 1945 transcrit à Saint-Berain-sous-Sanvignes (Saône-et-Loire) le 2 novembre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts à Saint-Berain-sous-Sanvignes (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Journal de Saône-et-Loire du 11 septembre 2001 Trois jours de combats pour libérer la ville et Traces de mémoire, supplément au journal de Saône-et-Loire du 31 août 2004.— Bataille d’Autun sur Internet.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
