FEBVRE Francis
Né le 27 mars 1913 à Sanvignes-les-Mines (Saône-et-Loire), mort en action le 8 septembre 1944 à Autun (Saône-et-Loire) ; mineur ; résistant des Francs-tireurs et partisans français et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Francis Febvre était le fils de Eugénie Febvre. Il était marié avec Joséphine Rosa Petit et domicilié 11 rue de Soissons ; à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Il exerçait le métier de mineur aux houillères de Blanzy..
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du régiment Valmy. Le régiment Valmy prit part aux combats de la libération d’Autun.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun. L’attaque échoua et les allemands se vengèrent sur les résistants prisonniers qu’ils fusillèrent. Vingt-sept hommes du bataillon Pietro dont Francis Febvre furent massacrés dans les jardins de l’institution Saint-Lazare.
Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
Son corps fut ramené à Montceau-les-Mines par ses camarades des Forces françaises de l’intérieur
L’acte de décès fut dressé le 25 septembre 1944 à Montceau-les-Mines sur la déclaration de Noël Brunet-Manquat, 33 ans, employé aux pompes funèbres générales.
Francis Febvre obtint la mention « Mort pour la France » sur avis du Secrétariat général des Anciens combattants et victimes de guerre en date du 25 juillet 1946 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI) (mention additive du 22 mai 1957) et "Déporté et interné résistant" (DIR), [dossier SHD Vincennes GR 16 P 219607].
Son nom figure sur le monument aux morts, à Montceau-les-Mines (Sâone-et-Loire).
Il entra dans la Résistance aux Francs-tireurs et partisans français (FTPF) du régiment Valmy. Le régiment Valmy prit part aux combats de la libération d’Autun.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun. L’attaque échoua et les allemands se vengèrent sur les résistants prisonniers qu’ils fusillèrent. Vingt-sept hommes du bataillon Pietro dont Francis Febvre furent massacrés dans les jardins de l’institution Saint-Lazare.
Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
Son corps fut ramené à Montceau-les-Mines par ses camarades des Forces françaises de l’intérieur
L’acte de décès fut dressé le 25 septembre 1944 à Montceau-les-Mines sur la déclaration de Noël Brunet-Manquat, 33 ans, employé aux pompes funèbres générales.
Francis Febvre obtint la mention « Mort pour la France » sur avis du Secrétariat général des Anciens combattants et victimes de guerre en date du 25 juillet 1946 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI) (mention additive du 22 mai 1957) et "Déporté et interné résistant" (DIR), [dossier SHD Vincennes GR 16 P 219607].
Son nom figure sur le monument aux morts, à Montceau-les-Mines (Sâone-et-Loire).
Sources
SOURCES : Journal de Saône-et-Loire du 11 septembre 2001 Trois jours de combats pour libérer la ville et Traces de mémoire, supplément au journal de Saône-et-Loire du 31 août 2004.— Bataille d’Autun sur Internet.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
jean-Louis Ponnavoy
