LAPORTE Bernard, Étienne, Albert
Né le 26 juin 1925 à Oye-Plage (Pas-de-Calais), mort à l’hôpital le 3 novembre 1944 à Saint-Omer (Pas-de-Calais) des suites de ses blessures ; cheminot ; résistant des Forces françaises combattantes (FFC).
Bernard Laporte était le fils de Gustave Joseph François et de Marie Clémence Émélie Camus. Il était célibataire et occupait sous l’Occupation un emploi d’auxiliaire au service de l’Exploitation de la SNCF, à Pont-d’Oye (Pas-de-Calais).
Il entra dans la Résistance comme agent des services secrets britannique du S.O.E. Section F du Groupe Buckmaster et Réseau Sylvester. Au moment des combats de la Libération, il fut affecté comme agent de liaison avec les troupes canadiennes et chargé de missions de reconnaissance. Au cours de l’une d’elles, il se trouva au contact avec l’ennemi, près de Marck (Pas-de-Calais). Il fut blessé par balle et transporté à l’hôpital de campagne canadien, à Saint-Omer. Il rentra chez lui du 10 au 27 octobre mais dut retourner à l’Hôpital où il décéda des suites de ses blessures le 3 novembre 1944, à Saint-Omer (Pas-de-Calais).
L’acte de décès fut transcrit le 5 décembre 1944 à Oye-Plage.
Il obtint la mention « Mort pour la France » apposée sur l’acte de décès et fut homologué au grade de sous-lieutenant des Forces françaises combattantes (FFC).
Il reçut la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Oye-Plage (Pas-de-Calais).
Il entra dans la Résistance comme agent des services secrets britannique du S.O.E. Section F du Groupe Buckmaster et Réseau Sylvester. Au moment des combats de la Libération, il fut affecté comme agent de liaison avec les troupes canadiennes et chargé de missions de reconnaissance. Au cours de l’une d’elles, il se trouva au contact avec l’ennemi, près de Marck (Pas-de-Calais). Il fut blessé par balle et transporté à l’hôpital de campagne canadien, à Saint-Omer. Il rentra chez lui du 10 au 27 octobre mais dut retourner à l’Hôpital où il décéda des suites de ses blessures le 3 novembre 1944, à Saint-Omer (Pas-de-Calais).
L’acte de décès fut transcrit le 5 décembre 1944 à Oye-Plage.
Il obtint la mention « Mort pour la France » apposée sur l’acte de décès et fut homologué au grade de sous-lieutenant des Forces françaises combattantes (FFC).
Il reçut la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Oye-Plage (Pas-de-Calais).
Sources
SOURCES : dossiers SHD GR 16 P 337971 et AC 21 P 67797 (non consultés).— Notice sans auteur dans le Mémorial 1940-1945 des Cheminots victimes de la répression, sous la direction de Thomas Fontaine, Perrin/SNCF, Paris, 2017, page 1560.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
