GRAS Raymond, André
Né le 25 décembre 1925 à Lyon, IIè arr. (Rhône, aujourd’hui Métropole de Lyon), mortellement blessé le 29 août 1944 à Bonnefamille (Isère) ; ouvrier agricole ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur
Raymond GRAS
Photo : Jean-Luc Marquer
Raymond, André Gras était le fils de Léon, Marcel et de Marthe Vallot son épouse. Célibataire, Raymond Gras était ouvrier agricole à Saint-Quentin-Fallavier (Isère).
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du groupe de Saint-Quentin-Fallavier, relevant du secteur 7 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 19 août 1944.
Le 29 août 1944 à Bonnefamille (Isère), commune limitrophe de Saint-Quentin-Fallavier, deux camions allemands tombèrent sur des maquisards sur la route départementale 36. Raymond Gras et un autre résistant, Eugène Cicuto, furent mortellement blessés vers le Grand Chemin. Le garde-chasse François Nesmoz mourut d’une balle perdue.
Transporté à la clinique de Jallieu (aujourd’hui Bourgoin-Jallieu, Isère), Raymond Gras y mourut quelques instants après son arrivée.
Il obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Il fut décoré de la Croix de guerre avec "étoile d’argent" et de la Médaille militaire à titre posthume.
Son nom figure sur une stèle érigée à proximité du monument aux morts de Bonnefamille, sur une stèle érigée au hameau du Lombard à L’Isle-d’Abeau, sur le monument aux morts de Saint-Quentin-Fallavier et sur un monument érigé à Saint-Bonnet-de-Mure (Rhône) en hommage aux F.F.I. tombés les 28 et 29 août 1944.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du groupe de Saint-Quentin-Fallavier, relevant du secteur 7 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 19 août 1944.
Le 29 août 1944 à Bonnefamille (Isère), commune limitrophe de Saint-Quentin-Fallavier, deux camions allemands tombèrent sur des maquisards sur la route départementale 36. Raymond Gras et un autre résistant, Eugène Cicuto, furent mortellement blessés vers le Grand Chemin. Le garde-chasse François Nesmoz mourut d’une balle perdue.
Transporté à la clinique de Jallieu (aujourd’hui Bourgoin-Jallieu, Isère), Raymond Gras y mourut quelques instants après son arrivée.
Il obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Il fut décoré de la Croix de guerre avec "étoile d’argent" et de la Médaille militaire à titre posthume.
Son nom figure sur une stèle érigée à proximité du monument aux morts de Bonnefamille, sur une stèle érigée au hameau du Lombard à L’Isle-d’Abeau, sur le monument aux morts de Saint-Quentin-Fallavier et sur un monument érigé à Saint-Bonnet-de-Mure (Rhône) en hommage aux F.F.I. tombés les 28 et 29 août 1944.
Sources
SOURCES : SHD Vincennes, GR 19 P 38/14 ; GR 16 P 268532 (nc). — AVCC Caen, AC 21 P 196580 (nc). — Mémoire des hommes .— Mémorial GenWeb. — http://bonnefamille.over-blog.com/2014/08/souvenirs-d-aout-1944.html. — État civil
Jean-Luc Marquer
