FEUILLYE Flavien, Alfred, Albert [alias Flavien au maquis Surcouf]]
Né le 7 juin 1917 à Saint-Pierre-des-Ifs (Eure), exécuté sommairement par les troupes allemandes le 8 juin 1944 à Saint-Étienne-l’Allier (Eure) ou abattu par des Allemands le même jour à Saint-Georges-de-Vièvre (Eure) ; résistant du maquis Surcouf, homologué Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant (DIR).
Flavien FEUILLYE
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Stèle à Saint-Georges-de-Vièvre (Eure)
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Flavien, Alfred, Albert Feuillye était le fils de Joseph, Louis, Auguste Feuillye, cultivateur, et de Marguerite, Émilia Viel, son épouse.
Il épousa Denise, Andrée, Louise Odelin le 7 juin 1941 à Saint-Martin-Saint-Firmin (Eure).
Le couple avait un enfant et habitait Saint-Martin-Saint-Firmin.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis Surcouf.
Ses services sont homologués à partir du 1er janvier 1943.
Deux versions en deux lieux de décès circulent.
Voici la version du journal de marche de l’unité par son commandant Robert Leblanc : Agent de liaison intercepté par un groupe d’action des Brigades Antiterroristes (police de Rouen) qui le livra aux Allemands, fusillé sur place vers la ferme de la Pilvidière (disparue) près de la route de La Noë à Saint-Étienne-l’Allier.
La plaque qui se trouve sur le lieu de son décès indique qu’après avoir passé la journée à couper des arbres avec des maquisards pour gêner la circulation des Allemands, il fut mitraillé par l’ennemi à Saint-Georges-de-Vièvre (Eure) alors qu’il se rendait à moto à la ferme Lecoq pour remettre un courrier à Robert Leblanc.
Tombé au bord de la route, il mourut après plusieurs heures d’agonie.
Il fut déclaré « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 17 décembre 1968 paru au JO le 17 janvier 1969.
Il est enterré au cimetière communal de Saint-Martin-Saint-Firmin.
Son nom figure sur une stèle érigée sur le lieu de sa mort, sur les monuments aux morts de Saint-Martin-Saint-Firmin et Saint-Georges de-Vièvre, sur le monument commémoratif de la Résistance à Saint-Étienne-l’Allier (Eure) et sur le Mémorial du maquis Surcouf à Pont-Audemer (Eure).
Sites d’exécutions : Été 1944 : les tués ou exécutés du maquis Surcouf (Eure)
Il épousa Denise, Andrée, Louise Odelin le 7 juin 1941 à Saint-Martin-Saint-Firmin (Eure).
Le couple avait un enfant et habitait Saint-Martin-Saint-Firmin.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis Surcouf.
Ses services sont homologués à partir du 1er janvier 1943.
Deux versions en deux lieux de décès circulent.
Voici la version du journal de marche de l’unité par son commandant Robert Leblanc : Agent de liaison intercepté par un groupe d’action des Brigades Antiterroristes (police de Rouen) qui le livra aux Allemands, fusillé sur place vers la ferme de la Pilvidière (disparue) près de la route de La Noë à Saint-Étienne-l’Allier.
La plaque qui se trouve sur le lieu de son décès indique qu’après avoir passé la journée à couper des arbres avec des maquisards pour gêner la circulation des Allemands, il fut mitraillé par l’ennemi à Saint-Georges-de-Vièvre (Eure) alors qu’il se rendait à moto à la ferme Lecoq pour remettre un courrier à Robert Leblanc.
Tombé au bord de la route, il mourut après plusieurs heures d’agonie.
Il fut déclaré « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant (DIR).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 17 décembre 1968 paru au JO le 17 janvier 1969.
Il est enterré au cimetière communal de Saint-Martin-Saint-Firmin.
Son nom figure sur une stèle érigée sur le lieu de sa mort, sur les monuments aux morts de Saint-Martin-Saint-Firmin et Saint-Georges de-Vièvre, sur le monument commémoratif de la Résistance à Saint-Étienne-l’Allier (Eure) et sur le Mémorial du maquis Surcouf à Pont-Audemer (Eure).
Sites d’exécutions : Été 1944 : les tués ou exécutés du maquis Surcouf (Eure)
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 184105 (nc) et AC 21 P 645449 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 222982 et GR 19 P 27/19. p. 19.— Raymond Ruffin, Les Lucioles de ma nuit - Le maquis Surcouf en Normandie, Presses de la Cité, 1976. — Mémorial GenWeb. — Mémoire des hommes. — Geneanet. — État civil (naissance), Arch. Dép. Eure.
Jean-Paul Nicolas, Jean-Luc Marquer
