BLAY Gaston, Émile
Né le 18 décembre 1905 à Jarrie (Isère), abattu par un soldat allemand le 21 août 1944 au Pont-de-Claix (Isère) ajusteur ; victime civile
Gaston, Émile Blay était le fils de Victor, Auguste, Adrien Adrien et de Léoncie, Joséphine Audde, son épouse.
Il épousa Marthe, Alexandrine, Claudine Chaize.
En 1944, le couple, lui ajusteur, elle ouvrière, habitait 15 route d’Échirolles ( aujourd’hui, rue de Stalingrad) au Pont-de-Claix (Isère) et avait au moins un fils.
Le 21 août 1944, jour de la libération du Pont-de-Claix, Gaston Blay se trouvait en face du 13 de la route d’Échirolles. Des soldats français ou des maquisards arrivèrent et lui demandèrent de signaler si la voie était libre. Un soldat allemand caché dans une ruelle l’abattit d’une rafale de pistolet-mitrailleur. Une balle l’ayant atteint à la tête, il mourut sur le coup.
Gaston Blay obtint la mention « Mort pour la France ». Son épouse obtint le titre de « Veuve de guerre » et son fils devint « Pupille de la Nation ».
Son nom figure sur le monument aux morts de Jarrie (Isère) et depuis 2013, sur celui du Pont-de-Claix, sur la demande de son fils Serge.
Voir : Le Pont-de-Claix, 30 décembre 1943, juillet, août 1944
Il épousa Marthe, Alexandrine, Claudine Chaize.
En 1944, le couple, lui ajusteur, elle ouvrière, habitait 15 route d’Échirolles ( aujourd’hui, rue de Stalingrad) au Pont-de-Claix (Isère) et avait au moins un fils.
Le 21 août 1944, jour de la libération du Pont-de-Claix, Gaston Blay se trouvait en face du 13 de la route d’Échirolles. Des soldats français ou des maquisards arrivèrent et lui demandèrent de signaler si la voie était libre. Un soldat allemand caché dans une ruelle l’abattit d’une rafale de pistolet-mitrailleur. Une balle l’ayant atteint à la tête, il mourut sur le coup.
Gaston Blay obtint la mention « Mort pour la France ». Son épouse obtint le titre de « Veuve de guerre » et son fils devint « Pupille de la Nation ».
Son nom figure sur le monument aux morts de Jarrie (Isère) et depuis 2013, sur celui du Pont-de-Claix, sur la demande de son fils Serge.
Voir : Le Pont-de-Claix, 30 décembre 1943, juillet, août 1944
Sources
SOURCES : Arch Dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 404 — AVCC Caen, AC 21 P 314311 (nc) — Compte-rendu du conseil municipal de Pont-de-Claix du 22 novembre 2012
Jean-Luc Marquer
