LE COQ Jean
Né le 11 juin 1912 à Baud (Morbihan), exécuté le 13 juillet 1944 au Fort Penthièvre, commune de Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan) ; médecin ; FFI.
Jean Le Coq
SOURCE : Joseph Jégo, Rage Action Tourmente au Pays de Lanvaux
Sur la plaque commémorativeapposée à l’entrée de la cryptedu Fort Penthièvre
Sur le monument des fusillésdu Fort Penthièvre
Sur le monument aux morts 1939-1945 de Plumelec
Sur le mémorial des FFI à Auray
SOURCE : Photos Jean-Pierre et Jocelyne Husson
Jean Le Coq était le fils de Louis Marie Le Coq et de Louise Marie Philomène Agathe Le Cam. Il avait épousé le 6 octobre 1937 à Roscoff (Finistère) Élisabeth Paule Henriette Marie Daversin. Le couple avait trois enfants et était domicilié à Plumelec (Morbihan).
Le docteur Jean Le Coq rejoignit les Forces Forces françaises de l’intérieur au sein du 2e Bataillon FFI (ORA) du Morbihan, commandé par Yves Le Garrec [pseudonyme dans la Résistance « commandant Yves]. Arrêté et incarcéré à la prison de Vannes (Morbihan), il fit partie des cinquante détenus conduits le 12 juillet 1944 au Fort Penthièvre, commune de Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan), et exécutés le lendemain, deux par deux, les mains liées, après avoir été horriblement torturés.
L’acte de décès dressé à l’état civil de Saint-Pierre-Quiberon le 22 juin 1945 fait état de la découverte de son corps le 16 mai 1945, « fusillé au Fort Penthièvre en Saint-Pierre-Quiberon, le décès paraissant remonter au 13 juillet 1944 ».
Jean Le Coq a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI. Le titre d’Interné-résistant lui a été attribué..
À Saint-Pierre-Quiberon, son nom est inscrit sur le monument commémoratif du Fort Penthièvre et sur la plaque apposée à l’entrée du tunnel où les corps des suppliciés du 13 juillet 1944 furent emmurés.
Il figure aussi sur la plaque « FFI » du monument aux morts de Plumelec, commune où il est inhumé, ainsi que sur le monument commémoratif d’Auray dédié au 2e bataillon FFI du Morbihan.
Le docteur Jean Le Coq rejoignit les Forces Forces françaises de l’intérieur au sein du 2e Bataillon FFI (ORA) du Morbihan, commandé par Yves Le Garrec [pseudonyme dans la Résistance « commandant Yves]. Arrêté et incarcéré à la prison de Vannes (Morbihan), il fit partie des cinquante détenus conduits le 12 juillet 1944 au Fort Penthièvre, commune de Saint-Pierre-Quiberon (Morbihan), et exécutés le lendemain, deux par deux, les mains liées, après avoir été horriblement torturés.
L’acte de décès dressé à l’état civil de Saint-Pierre-Quiberon le 22 juin 1945 fait état de la découverte de son corps le 16 mai 1945, « fusillé au Fort Penthièvre en Saint-Pierre-Quiberon, le décès paraissant remonter au 13 juillet 1944 ».
Jean Le Coq a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI. Le titre d’Interné-résistant lui a été attribué..
À Saint-Pierre-Quiberon, son nom est inscrit sur le monument commémoratif du Fort Penthièvre et sur la plaque apposée à l’entrée du tunnel où les corps des suppliciés du 13 juillet 1944 furent emmurés.
Il figure aussi sur la plaque « FFI » du monument aux morts de Plumelec, commune où il est inhumé, ainsi que sur le monument commémoratif d’Auray dédié au 2e bataillon FFI du Morbihan.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 72 662. — SHD, Vincennes, GR 16 P 350710. — Mémorial GenWeb. — Joseph Jégo,1939-1945 Rage Action Tourmente au Pays de Lanvaux (photo), Plumelec, 1996. — Site Internet Les Amis de la Résistance du Morbihan, ANACR-56. — État civil, Baud (acte de naissance) ; Saint-Pierre-Quiberon (acte de décès).
Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson